La sensation de froid est mon sang qui se glace
Cette flamme de vie, fragilement s’efface
Mon sourire s’affiche une joie de surface
Causée par un mal être qui a laissé des traces.
Une impression divine d’avoir tout accompli
Que ton cadeau céleste sera le paradis
Qui finira ma peine et mes douloureux cris,
Délivre-moi du vrai et tue mon utopie.
Seigneur ! Regarde-moi, rappelle-moi à toi
Retire-moi les rennes je ne sais le bon choix.
Refoule mes ennemis extirpe ce lourd poids
Je n’ai peur d’aucune voie car en toi j’ai la foi.
Mon cœur te le demande comme une ultime quête
Guéris-le du mensonge, au jugement il s’apprête
Devant toi à genoux un divin tête-à-tête
Prends-moi parmi les anges dans ton saint lieu de fête.
2 mars 2004