I’m ready to make a lot of things

Just for you look at me once again

My faults are going to change

Just for you because I love you.

I won’t be a fibber girl

I’d tell you only the truth

I shouldn’t lie anymore

I swear you.

You won’t listen to my plaintive words

I’ll agree to do anything for just one smile

If you give me some hard times

Don’t matter because I love you in any case.

My desire won’t exist

But you own will be primordial

And your dreams will become real

Thanks to me you’ll be the only glad man in this world.

It’s like that

There’s nothing I can do

With you I’m so and totally different

Because you are a road to happiness.

Ramène moi à la vie que je puisse survivre

Donne moi ton calme et ta sérénité

Donne moi tes printemps pour profiter des jours

Ces jours longs qui s'en vont et ne reviennent pas

Fais résonner ta voix, elle est si apaisante

Car il se peut qu'elle m'aide et me rende meilleur

Alors pardonne moi

Pardonne mes manies, pardonne mes écarts

Cette confession me hante, me détruit et me ronge

Car je suis comme je suis

L'incarnation du mal

Et pourtant je suis là devant toi assagi

Toi mon ange gardien revient et sauve moi

Délivre moi du mal

Aide moi, aime moi c'est la seule solution

Car seul ton grand amour pourrait me rendre bon

Cette douce flamme de nostalgie rassurante

Elle brûle, se consume mais finalement augmente.

La mélodie d’une flèche qui au fond de moi chante

Un sentiment perdu, me place dans l’attente.

Incertitude présente, dialogues invraisemblables,

Rapports endommagés, regard méconnaissable

A tout jamais percé sans de raisons valables

Un cœur vite oublié, mais par l’inoubliable.

Rejetée ou aimée, souffrir est ma vertu

Mon statut d’innocente est faux car j’y ai cru.

Ce souvenir de rêve m’enveloppe et accentue

Ce poids mélancolique en moi qui s’habitue.

Coupable ou romantique telle est ma décision

Mentir ou être honnête tu as bougé ton pion,

Ton acte est si fatal qu’il est contradiction

Etre une raison de vivre voilà ma punition.

                                             Céline – 17 janvier 2004